Dakar

La ville de Dakar est une collectivité locale, chef lieu de la capitale Sénégalaise. Elle épouse les contours du département de Dakar, elle est dotée d’une personnalité morale et d’une autonomie financière. La Ville de Dakar fut créée le 25 mai 1857, elle occupe une superficie de 83 km², et sa population est estimée à plus de 2 millions d’habitants. Elle est divisée en dix-neuf communes dirigées chacune par un Maire.  

L’institution est composée de dix directions avec plus de 1600 agents et 800 volontaires. La ville de Dakar a un budget annuel qui dépasse les 60 millions d’euros, soit 40 milliards de Francs CFA.

La ville de Dakar est :

Une Ville moderne au moyen d’investissements structurants qui visent à améliorer le cadre et la qualité de vie avec des objectifs d’innovation et dans une logique de développement durable. Dans ce cadre, d’importants programmes sont en cours d’exécution : la mise en service d’un système intelligent de feux de signalisation tricolore, le programme de réhabilitation et d'extension de la voirie communale, le programme d’extension du réseau d’éclairage public avec des équipements fonctionnant à l’énergie solaire, sans compter le programme HIMO de pavage des rues qui, à terme, va mobiliser 2600 jeunes rémunérés et constituer, à ce titre, un puissant levier de génération d’emplois et d’autopromotion.

Une Ville solidaire par les dynamiques sociales qu’elle développe pour montrer la priorité qu’elle accorde à l’éducation grâce au programme « La Ville en bon parent d’élèves » dans ses différentes composantes qui a considérablement allégé les charges d’éducation des parents, à la santé par le relèvement du plateau technique des structures sanitaires et l’élargissement de l’offre de soins à certaines spécialités médicales. Une Ville solidaire également par les sécurités qu’elle diffuse pour relever le niveau des populations grâce au Fonds de Développement et de Solidarité Municipal (FODEM), principal instrument de la politique de promotion socioéconomique des femmes et des jeunes, grâce au PAFSEP, qui finance les micro projets, et grâce au micro jardinage, dont les effets sur la sécurité alimentaire et sur la lutte contre la pauvreté sont incontestables.